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Il y a six ans, maître Shiguma a accepté de prendre Akane sous son aile pour lui enseigner les rudiments du rakugo. Et à présent que la jeune fille a l'accord de ses parents pour suivre la voie de cet art ancestral, les choses sérieuses commencent : en attendant de devenir officiellement zenza au sein de l'école Arakawa, elle doit en effet apprendre les ficelles du métier auprès de ses nouveaux condisciples... Kyoji, dont le sérieux est sans égal, s'est porté volontaire et la laisse même monter sur scène pour voir ce dont elle est capable ! Mais après la prestation, il veut avant tout lui inculquer la notion de "kibataraki'... et l'envoie travailler dans un izakaya ! Parviendra-t-elle à appliquer la leçon qu'elle a tirée de cette expérience ? Il y a six ans, maître Shiguma a accepté de prendre Akane sous son aile pour lui enseigner les rudiments du rakugo. Et à présent que la jeune fille a l'accord de ses parents pour suivre la voie de cet art ancestral, les choses sérieuses commencent : en attendant de devenir officiellement zenza au sein de l'école Arakawa, elle doit en effet apprendre les ficelles du métier auprès de ses nouveaux condisciples... Kyoji, dont le sérieux est sans égal, s'est porté volontaire et la laisse même monter sur scène pour voir ce dont elle est capable ! Mais après la prestation, il veut avant tout lui inculquer la notion de "kibataraki'... et l'envoie travailler dans un izakaya ! Parviendra-t-elle à appliquer la leçon qu'elle a tirée de cette expérience ?

Malgré la désapprobation de ses condisciples, Akane demande à maître Shiguma de pouvoir participer au prix Karaku, un concours de rakugo destiné aux étudiants et aux lycéens... Le shin'uchi accepte, à condition que la jeune fille interprète uniquement "Jugemu', un hanashi simple, mais qui ne semble pas à première vue approprié pour briller en compétition.

Akane a réussi à passer les éliminatoires du prix Karaku, et elle doit à présent interpréter une nouvelle fois "Jugemu' devant le public. Mais pour faire mouche, il ne suffit pas de mettre en scène ce hanashi, il faut également creuser la psychologie de ses personnages... C'est là le véritable défi que lui a donné maître Shiguma ! La jeune fille s'en sort avec brio, s'effaçant pour laisser place au récit et le rendre plus vivant. Seulement, les rakugoka qui forment le jury ne sont pas dupes : ils ont reconnu la patte de leur confrère à travers la lycéenne... Cela jouera-t-il en sa défaveur ?

Après le succès de La pasion, elle revient avec onze titres réalisés par Renaud Létang qui font toujours autant la place à l'émotion et la qualité d'interprétation, le tout en français, italien, en espagnol évidemment mais aussi en portugais.

Asaf Avidan est la quintessence de l'émotion à l'état brut. Originaire de Jérusalem, ce songwriter hors du commun façonne un imaginaire puissant, propulsé avec délicatesse par une voix androgyne et singulière. Après une absence de plus de 2 ans, il revient avec un album surprenant, novateur, riche et complexe, un album où il délaisse ses sources d'inspiration habituelles pour puiser dans des styles musicaux plus inattendus : hip-hop des années 90, pop moderne, gospel. 10 titres empreints d'émotion et d'authenticité, servis par des productions épurées, qui soulignent et magnifient le timbre androgyne si particulier de l'artiste. Enregistré aux côtés de son partenaire musical Tamir Muskat (producteur de Different Pulses et Gold Shadow) entre Tel-Aviv et la campagne italienne, l'album est certainement son plus personnel à ce jour.

Asa (prononcez Asha), le « faucon » en yoruba, décide en 2006 de poser les bases d’un disque, en prenant le temps et le soin nécessaires, suivant une méthode où le feeling a beaucoup à jouer. On retrouve sur cette première œuvre le flûtiste Magic Malik et un tapis de cordes cinématique, une batterie tout swing et des percussions en pointillés, de discrets beats r’b et deux guitares élégantes, un orgue Hammond au toucher funky et une basse gorgée de reggaeà Ce disque nous dévoile les horizons définitivement pluriels d'une jeune femme. Elle évoque la souffrance, la tristesse, l'amour et aussi sa foi dans le monde. Tout ceux qui l'accompagnent résument la diversité de l'ouvre : le flûtiste Magic Malik et un tapis de cordes cinématique, une batterie tout swing et des percussions en pointillés, deux guitares élégantes, un orgue Hammond au toucher funky et une basse gorgée de reggae.

Joe Yabuki est un orphelin bagarreur qui vit dans la rue. Dans un bidonville, il éveille la curiosité de Danpei, un ancien boxeur devenu alcoolique. Conscient du potentiel du jeune homme, Danpei rêve d'en faire un boxeur de génie. Mais l'intéressé est plus attaché à son indépendance qu'à la gloire.

La suite des aventures de Joe Yabuki et de Danpei.

La suite des aventures de Joe Yabuki et de Danpei.

La déesse Mari confie au Diable ses deux fils, nés d'un père mortel, pour leur éducation. Lorsqu'ils atteignent leur majorité, l'un, Mikelats, décide de rester auprès du maître, tandis que l'autre, Atarrabi, s'enfuit. Mais le Diable réussit à retenir son ombre.

Ier siècle après Jésus-Christ, l'Empire romain est à son apogée et ses légions soumettent une à une les dernières contrées où monstres et humains vivent encore en paix. Criminels, innocents, orphelins, demi-humains, wyvernes... Tous constituent les rangs d'esclaves guerriers jetés dans l'arène et forcés de s'entretuer pour divertir l'empereur Domitien et les Romains avides de sang. Parmi ces combattants se trouvent des gladiateurs qui affrontent fauves et créatures légendaires : on les appelle les Bestiari. Or, certains d'entre eux, comme Finn ou Zénon, ont été élevés aux côtés de ceux qui, aux yeux de Rome, ne sont que de simples bêtes, et ils comptent bien retourner leurs armes contre leurs geôliers... et même contre l'Empire tout entier !

Ier siècle après Jésus-Christ, l'Empire romain est à son apogée et ses légions soumettent une à une les dernières contrées où monstres et humains vivent encore en paix. Criminels, innocents, orphelins, demi-humains, wyvernes... Tous constituent les rangs d'esclaves guerriers jetés dans l'arène et forcés de s'entretuer pour divertir l'empereur Domitien et les Romains avides de sang. Parmi ces combattants se trouvent des gladiateurs qui affrontent fauves et créatures légendaires : on les appelle les Bestiari. Or, certains d'entre eux, comme Finn ou Zénon, ont été élevés aux côtés de ceux qui, aux yeux de Rome, ne sont que de simples bêtes, et ils comptent bien retourner leurs armes contre leurs geôliers... et même contre l'Empire tout entier !

Ier siècle après J.-C., l'Empire romain est à son apogée. Ses légions soumettent une à une les dernières contrées où monstres et humains vivent encore en paix. Criminels, innocents, demi-humains, wyvernes... Tous constituent les rangs de gladiateurs jetés dans l'arène et forcés de s'entretuer pour divertir l'empereur Domitien. Or, certains d'entre eux, comme Finn ou Zénon, ont été élevés aux côtés de ceux qui, aux yeux de Rome, ne sont que de simples bêtes, et ils comptent bien retourner leurs armes contre leurs geôliers... et même contre l'Empire tout entier !

Ier siècle après J.-C., l'Empire romain est à son apogée. Ses légions soumettent une à une les dernières contrées où monstres et humains vivent encore en paix. Criminels, innocents, demi humains, wyvernes... Tous constituent les rangs de gladiateurs jetés dans l'arène et forcés de s'entretuer pour divertir l'empereur Domitien. Or, certains d'entre eux, comme Finn ou Zénon, ont été élevés aux côtés de ceux qui, aux yeux de Rome, ne sont que de simples bêtes, et ils comptent bien retourner leurs armes contre leurs geôliers... et même contre l'Empire tout entier !

Ier siècle après J.-C., l'Empire romain est à son apogée. Ses légions soumettent une à une les dernières contrées où monstres et humains vivent encore en paix. Criminels, innocents, demi-humains, wyvernes... Tous constituent les rangs de gladiateurs jetés dans l'arène et forcés de s'entretuer pour divertir l'empereur Domitien. Or, certains d'entre eux, comme Finn ou Zénon, ont été élevés aux côtés de ceux qui, aux yeux de Rome, ne sont que de simples bêtes, et ils comptent bien retourner leurs armes contre leurs geôliers... et même contre l'Empire tout entier !