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Livre
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1914, le destin du monde
Une histoire de la Première Guerre mondiale
Retrace, mois après mois, la chronologie des événements de l'année 1914 qui marquent le début de la Première Guerre mondiale.
Quatrième de couverture
À Paris, gare de l'Est, en ce dimanche 2 août 1914, c'est la mobilisation générale. Il y a bientôt cent ans, le samedi 1er août, l'Allemagne a déclaré la guerre à la Russie, l'alliée de la France. L'Empire austro-hongrois est, dès le 28 juillet, entré en guerre contre la Serbie. L'engrenage des alliances, des ultimatums, des mobilisations, entraîne les nations dans sa mécanique sanglante. Berlin est solidaire de Vienne. Paris, lié à Londres, soutient Saint-Pétersbourg. En quelques heures, toutes les grandes gares européennes ressemblent à la gare de l'Est. Tous ces hommes qui partent, innocents, inconscients, n'imaginent pas que des centaines de milliers d'entre eux vont mourir ou être blessés avant que l'année 1914 se termine, et que cette guerre, qui devait être brève et locale, deviendra la Première Guerre mondiale.
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Gallo Max
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2013 |
Roman Adulte |
15-04-2013 |
38 |
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Livre
1
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1940, de l'abîme à l'espérance
Récit
Le destin de la France et de l'Europe s'est joué en 1940.
Soixante-dix ans après, Max Gallo fait revivre ces douze mois terribles et finalement inconnus. Janvier 1940 c'est la " drôle de guerre " entre la France et l'Allemagne, une attente interminable conçue par Hitler comme un piège dans lequel les armées alliées s'enlisent. En mai, c'est la " guerre éclair ", l'assaut, et la France s'écroule comme un château de cartes. Le peuple fuit sur les routes de l'exode.
C'est l'abîme, l'étrange défaite. A travers le récit de ces mois tragiques, Max Gallo fait entendre les voix de tous les acteurs de l'histoire. Ces généraux français enfermés dans leur passé. Ces hommes politiques profitant de la défaite pour régler leurs vieux comptes. Hitler qui jubile, Rommel qui fonce avec ses panzers. Le maréchal Pétain, appelé comme un sauveur, qui sollicite l'armistice. L'abîme. Et pourtant l'espérance lève, au creux même du désastre.
Les cadets de Saumur se battent pour l'honneur alors que tout s'effondre. Le général de Gaulle clame le 18 juin : " La flamme de la résistance française ne doit pas s'éteindre. " Et puis il y a Churchill, rageuse incarnation de la détermination anglaise, qui exhorte au combat et relève tous les courages. L'Histoire est là, vivante, et ses témoins renaissent sous la plume vibrante de Max Gallo. Un récit comme un tour de force, sombre et éblouissant.
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Gallo Max
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2010 |
Roman Adulte |
31-03-2010 |
72 |
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Livre
1
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1941, le monde prend feu
Récit
Après"1940, de l'abîme à l'espérance", suite de la série consacrée à la Seconde Guerre mondiale.
Quatrième de couverture
Janvier 1941 : l'Europe émerge du choc de 1940. La vague nazie a tout balayé sur son passage, sauf l'Angleterre qui n'a pas plié. C'est une étonnante et funèbre course contre la montre qui se joue sous nos yeux. De Gaulle et Winston Churchill sont persuadés que la guerre va devenir mondiale, que les États-Unis devront se résoudre à s'engager, que Hitler finira par attaquer l'Union soviétique de Staline, signant ainsi sa perte. Mais quand ? Les semaines et les mois sont autant de civils fauchés par les bombardements, de résistants trahis par le régime de Vichy, de soldats alliés qui se battent sur tous les territoires, y compris dans l'empire français où les Forces Françaises Libres se sont regroupées... Ce temps qui passe, c'est aussi celui de l'ignominie, des appels à la haine contre les "sous-hommes", des premiers massacres de Juifs à l'Est. Le 22 juin 1941, les troupes allemandes envahissent la Russie. Le 7 décembre, les États-Unis sont attaqués à Pearl Harbor par les Japonais. Cette fois, le monde est en feu... À travers ce récit, Max Gallo fait résonner les voix de tous les acteurs de ces douze mois tragiques. Churchill, de Gaulle, Hitler, Staline, Roosevelt, Rommel ou Jean Moulin, mais aussi des inconnus, conscients de l'importance vitale de leur témoignage, pour la mémoire et souvent pour l'honneur. Un récit comme un tour de force, sombre et éblouissant.
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Gallo Max
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2011 |
Roman Adulte |
29-06-2012 |
73 |
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Livre
1
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1942, le jour se lève
Récit
1942 : "la mort avide parcourt les continents et les océans".
En Europe, en Afrique, en Asie, dans l'océan Indien, Pacifique ou Arctique, sur tous les théâtres d'opération, des combattants et encore plus des civils tombent par centaines de milliers. Selon le plan clamé et cent fois répété de Hitler, la puissance nazie extermine les juifs, les déporte, les gaze dans des camions gigantesques stationnés au plus profond des forêts d'Europe centrale, les exécute dans les ghettos de Pologne, d'Ukraine, de Russie.
La guerre devenue mondiale est aussi devenue totale : "Totalkrieg". Mais alors que le camp nazi s'enfonce chaque jour dans l'infâme, il s'affaiblit. En Russie, l'armée allemande recule, elle connaît l'échec devant Moscou et Stalingrad. En Afrique, les armées alliées reprennent l'offensive. En France, Jean Moulin organise la Résistance. L'espoir est bien vivant. De Gaulle, Churchill, Roosevelt et Staline en sont conscients, qui tout en dirigeant leurs armées, commencent à préparer l'après-victoire.
Personne ne doute de la détermination de Hitler, et on sait que rien n'est jamais joué. Seule certitude, les souffrances seront immenses. Et les châtiments devront être à la mesure des crimes commis. 1942 : pour le monde, la victoire devient un rêve accessible. Le jour se lève
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Gallo Max
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2011 |
Roman Adulte |
17-06-2011 |
71 |
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Livre
1
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1944-1945 le triomphe de la liberté
Récit
Bientôt le Débarquement, bientôt la Libération, c'est ce qu'espèrent les Français en janvier 1944. Mais le chemin est encore long jusqu'au tombeau du IIIe Reich, la capitulation allemande. C'est cette marche vers le triomphe de la liberté que Max Gallo raconte, achevant ainsi sa grande Histoire de la 2e guerre mondiale. 1944 : Roosevelt et Churchill mettent en place le débarquement des troupes anglo-américaines sur les côtes normandes prévu le 6 juin 1944.
De Gaulle, maintenu à l'écart, rêve de fouler le sol français libéré par son peuple et de rendre à la France sa souveraineté. Prises en étau par les forces alliées, les puissances de l'Axe capitulent les unes après les autres. En France, la violence monte, barbare, sanglante. La Résistance s'unit et s'organise, les maquisards des Glières et du Vercors se sacrifient, alors que miliciens, collaborateurs et soldats allemands, en représailles, massacrent des innocents.
Hitler, qui échappe à un attentat fomenté par son propre camp en juillet 1944, et malgré la débandade de ses troupes, croit encore à la victoire ; mais, devant l'entrée des Russes à Berlin, il se suicide d'une balle dans la tête, laissant une semaine plus tard ses généraux signer la reddition sans condition de l'Allemagne le 8 mai 1945. Dans le Pacifique, les combats sont acharnés. Pour faire plier les Japonais, l'état-major américain utilise l'arme atomique : sur Hiroshima, le 6 août 1945, et sur Nagasaki, le 9 août.
Le 2 septembre, les Japonais ont capitulé, l'armistice est signée. 1945 : au prix de dizaines de millions de morts, la paix est revenue, la liberté a triomphé. Un nouveau monde est à construire.
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Gallo Max
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2012 |
Roman Adulte |
21-06-2012 |
71 |
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Livre
1
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L'Oubli est la ruse du diable
Cette autobiographie, qui se lit comme un roman ou comme un témoignage historiographique, met en avant l'importance du souvenir au niveau individuel ou collectif.
Quatrième de couverture :
" Ma machine à écrire était posée sur une caisse. Je m'asseyais à même le sol, jambes écartées, serrant la caisse entre mes cuisses. Dans le cône de la lumière que diffusait l'abat-jour d'opaline verte, je ne voyais plus que le clavier, mes doigts et ces phrases qui, alignées, régulières, me semblaient dictées par une voix qui naissait dans ma poitrine et emplissait ma bouche d'une salive âcre. Ces mots, collés l'un à l'autre, allaient devenir des essais, des livres.
Je le savais, je le voulais, c'était ça mon vrai destin. Ma "première vie" n'était qu'une apparence. Un jour, je n'aurais plus à donner le change, à apprendre à faire fonctionner une fraiseuse, à ajuster une queue d'aronde, à subir les sarcasmes d'un professeur d'atelier qui m'accusait de n'être qu'un "bon à rien", un "flemmard", un "prétentieux" qui avec ses grands airs n'était même pas capable de limer en tenant son outil à quarante-cinq degrés.
Je serais libre. "
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Gallo Max
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2012 |
Biographie |
08-10-2012 |
20 |