La compréhension des autres atteint chez vous la perfection... Je conclus à l'existence d'une grande modestie intérieure chez vous, qualité rare chez un artiste. Salutations cordiales. Freud, Lettre à Zweig, le 1er mai 1928 Tout ce que j'écris est marqué par votre influence et vous sentez peut-être que le courage de dire la vérité, qui est probablement l'essentiel de mes livres, vient de vous. Zweig, Lettre à Freud, le 21 octobre 1932 Traduction d'Alzir Hella, révisée, préfacée et annotée par Brigitte Vergne-Cain et Gérard Rudent