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Classieux et cuivré, classique et contemporain, voilà comment on pourrait qualifier ce disque d'Eddy Mitchell, crooner à vif entre swing et romance. C'est au mythique Studio Capitol à Los Angeles qu'il a enregistré accompagné de son alter égo Pierre Papadiamandis et de la crème de la crème des musiciens américains dirigés par l'arrangeur Rob Mounsey.

Ce onzième album de la chanteuse islandaise est inspiré par les relations qui existent entre les structures musicales et les phénomènes naturels, et les explore de leur forme atomique à leur aspect cosmique.

Le nouvel album des Dionysos s’appelle "Bird’n’Roll", c’est officiellement "un disque de Rock’n’Roll pour oiseaux". Il a été produit par Mathias et Mike, et mixé par Alf (Phoenix, Airà). "Cloudman" en est le 1er extrait, sorti en avant-première en 45 tours. Ce disque est le premier d’une série collector de quatre vinyls qui sortiront avant la sortie de l’album et dont les versos reconstituent son visuel. Cloudman est le personnage principal du troisième roman de Mathias Malzieu "Métamorphose en bord de ciel".

Enregistré entre autres avec Jeremy Abbiss le producteur d'Adèle, la jeune musicienne anglaise nous offre un premier album où elle atteint des summums de délicatesse à travers une voix saisissante qui ne peut laisser indiffèrent.

Deux ans et demi après la sortie de son premier album, la chanteuse Québécoise revient ici avec un disque. A nouveau, le thème de l’échange amoureux, dans tous ses états, sera le fil conducteur, comme le fil de vie, sincère et tenace, d’une jeune artiste unique qui, avec trois Victoires de la Musique, s’est imposée à une vitesse inédite comme l’une des icônes de sa génération.

Celui que le London Times surnomme "The first existentialist jazz rapper", publie son trentième album studio, réalisé par son fils Léo et enregistré entre Paris et les Etats-Unis avec la complicité des frères Rickie et Billy Peterson. Avec humour et un groove très personnel, il y poursuit sa réflexion musicale dans son univers où le jazz se mêle à la poésie, la philosophie et la politique, les grands thèmes de la vie sociale.

Salué par ses pairs, dont Johnny Halliday, acclamé par un public de plus en plus nombreux, Manu Lanvin délivre un album, accompagné de son fidèle Devil Blues, encore plus rock que ses prédécesseurs : un recueil de douze titres qui se teintent non pas du blues mais bel et bien de tous les blues, de celui du Texas à celui de Chicago en passant par ceux du Mississippi ou encore de la West Coast. Il se veut à la fois un portrait sans fioriture d'un artiste à deux facettes, celle d'un bluesman désabusé qui chante les coups bas de la vie, mais aussi et surtout celle d'un rocker optimiste qui prône la musique du diable pour un monde meilleur. La meilleure illustration en est la chanson-titre, véritable hymne en puissance pour toute la famille blues rock qui accueille aujourd'hui Manu Lanvin comme l'un de ses meilleurs représentants.